" C'était, paraît-il, des chèvres indépendantes, voulant à tout prix le grand air et la liberté " + Suisse +

Nom : Swingli Prénom(s) : Vash. Et le premier français qui l’appellera Vache, il va tellement se manger un mur. Surnom(s) : Le premier qui dit Milka il perd ses dents. Directs. Âge : 17 ans. Sexe : Mâle. Date de naissance : 1er août. Aile :  Germanique Pays représenté : Confédération suisse ; Schweizerische Eidgenossenschaft ; Confederazione Svizzera ; Confederaziun svizra. Soucis d’équité, là. Niveau scolaire : Intermédiaire 1

Taille : 1m64
Poids : 62 kg
Couleur des yeux : Vert façon forêt.
Couleur des cheveux : Blond.
Signe(s) particulier(s) : Une cicatrice en forme de croix sur l’épaule gauche, vestige d’une clavicule brisée et littéralement défoncée lors d’une chute du haut du balcon, à six ans.  Conclusion : Ne faites jamais confiance aux adulte, ni à personne. Comptez sur vous pour sauver votre cul de ce monde cruel.

Allure générale :
En fait, là, on dirait que vous le dérangez, Mais genre grave. Votre existence est nuisible. Vash a constamment l’air de se faire chier. En tout cas, on le fait chier, c’est clair. Il fait tout avec une sorte de vitesse sèche, un air de pas avoir envie d’y toucher et d’y être contraint qu’il le veuille ou non. Et puis la flemme d’essayer d’impliquer les autres, il leur fait pas confiance. Savent jamais se démerder par eux même. Même ses cheveux, c’est lui qui les coupe. Même ses vêtements, c’est lui qui les repasse et les recoud. Et marchez pas sur ses plates-bandes, où il vous fait découvrir sa conception de la neutralité. L’uniforme, il est porté dans la mesure du fait qu’il faut qu’il soit porté. Et il est parfaitement porté. Pas moyen de lui faire un seul reproche à ce sujet, de trouver un détail qui colle pas. Et là, ça n’est pas par maniaquerie scolaire, non, c’est un brin plus sournois. C’est qu’il peut calculer les ennuis évités avec l’uniforme perfect, et ça lui convient mieux. En dehors du scolaire, il reste relativement exemplaire. Une déformation professionnelle, celle de toujours tout faire avec une agressive perfection.  (note bene : et puis il a au poignet une montre. Suisse. Réflexe de gaucher élevé dans un monde inadapté, il la porte au poignet gauche, donc il la remonte tout le temps quand il écrit. Et puis note fluffy – on ne peut pas être le grand méchant banquier tout le temps – il a des bracelet brésiliens qu’a tressé sa sœur, qu’il garde tout le temps attaché parce qu’elle lui a dit qu’ils portaient bonheur et ne veut pas qu’il les retire. No comment sur eux où vous finirez comme un cadavre de rat dans une ruelle.)
Attitude générale :
Si ses yeux c’était des missiles, il y aurait au moins eu vingt mort à l’académie. Il râle sur tout ce qui le fait chier, sur tous ceux qui l’emmerde, et sa franchise exemplaire donnerait envie de le suicider. Il n’est pas asocial en soi. Juste qu’il mord plus qu’il n’aboie. Après, y’en a dès qui l’apprécie (et je ne parle pas seulement de sa parfaite, idéale, mignonne, sublime cadette), autrement que par masochisme (et puis les maso ils ont Russie. Il est très bien pour les maso, Ruru). Marchant droit, vivant droit, regard perçant façon zoziaux de montagne et l’air hargneux comme une chèvre sauvage, Vash a une sorte de précision toute mécanique à la suisse. Il parle clairement, poliment (dans une certaine limite, tout de même), et en regardant les autres dans les yeux. Un peu comme des spotlights, sauf que très souvent on aimerait pas qu’ils soient braqués sur nous.



Tempérament :
Calme jusqu’à ce que Bam. C’est une forte tête, doublée d’une grande gueule quand il faut. Les autres l’énervent facilement, avec leur manie de faire des erreurs compulsives et stupides. Ils ne pourraient pas apprendre, duh ? Impulsif quand il s’énerve, il lui arrive – parfois – de savoir prendre sur lui et de ne pas hurler sur tout le monde. Le bordel l’énerve. Le bruit l’énerve. Les sauvages qui chahutent autour de son petit soleil, sa lumière sa sœur, l’énervent. Les gens l’énervent. Les plans stupides et irréfléchis de Gilbert l’énervent. Les maniaqueries des autres – et même les siennes – l’énervent. L’incapacité des gens à assumer leurs actes l’énervent. Les victimes désignés qui se complaisent dans leur douleur l’énervent. Et le premier qui dit qu’il a ses règles, il le bute sans avoir recours à la kalash. Par contre, on peut noter qu’il a un franc respect pour ceux qui recommencent, qui essaient même si ils savent qu’ils vont échouer. Ça ne l’empêche pas de les engueuler, parce qu’ils se mettent en danger et qu’ils ne le réalisent pas – ou parfois ils l’assument, et ça il respecte encore plus. –. Il a alors une tendance irréfrénable à vouloir les aider, ou du moins à les récupérer avant qu’ils ne se fassent purement laminer. P’tête pour ça que malgré tous ses efforts, il ne peut pas haïr cet imbécile de Gilbert. Tant qu’aucune de ses conneries n’implique son Erika… (et tout ceux qui s’en prendront à elle, Vash mettra une edelweiss sur leur tombe.)
Assurance :
No prob. Il ne prend pas la parole à tout bout de champs, ne se la joue pas moulin à tout et n’importe quoi, mais quand il veut dire quelque chose il le fait, et généralement de façon posé (après, il y a les moments où il engueule quelqu’un en bonne et due forme, mais ça, ça compte pas.) Il a une confiance en lui suffisante pour sauter à pied joint dans la zone sensible des autres, venant leur dire ce qu’il pense d’eux sans craindre ce qu’il recevra en représailles. Une sorte de confiance assez froide et marquée, qui rejette les marques d’affection trop virulente mais ne dit jamais non à un léger sourire en coin ou à un petit hochement de tête.
Relationnel :
Casses-toi pauv’ con. Non seulement il a l’agressivité d’une chèvre des montagnes, mais en plus il est rancunier, avec une bonne mémoire. Préférant la compagnie de peu de gens, et de préférence aux caractères tempérés, il fera exception pour le cas de son adorable et parfaite petite sœur. Aimant réfléchir d’avantage dans son coin, il peut aussi s’attacher aux autres assez pour en vouloir à qui leur marche sur les pieds, et les défendre coûte que coûte. Si il ne manifestera à personne l’affection qu’il a pour sa frangine, il a cet aspect borné qui l’empêche de laisser dans la merde même ceux qu’il voudrait. Faut croire qu’il a aussi un faible pour les victimes et les délaissés. Quand travaux en groupe il y a (torture, pire si les partenaires sont imposés), il râle jusqu’à ce que mort s’en suive. Pas leader, mais plutôt celui qui conteste les décisions que celui-ci prend, il essaie toujours d’amener une réflexion sur d’autres aspect, montrer comment on pourrait voir les choses sinon. Dans le pire des cas, il est aussi celui qui va se shooter au café pour achever le travail que personne n’a fait. Et vous garder dans la partie haineuse de son cœur jusqu’à la fin des temps.
Comportement(s) à déplorer :
L’impatience qu’il manifeste vis-à-vis des autres. Ces imbéciles. Le fait qu’il ne mâche pas ses mots, réussissant à être odieux sans jamais être grossier. Son habitude de préserver la neutralité en intervenant avec brutalité. Son incapacité à rester sans rien faire, ou simplement aller chercher un surveillant quand y’a une bagarre. Ça n’est pas parce qu’il y a deux germanique dans le coup qu’il doit forcément y en avoir un troisième. On peut noter qu’en distribuant des coups avec une même violence des deux côté, il réussit assez souvent à séparer deux assaillant (et à se prendre une retenue avec.). Sa tendance à surprotéger sa cadette. Tout mâle dans un périmètre de vingt mètre devant présenter son pedigree. Il ne permettra qu’à des sang-purs de l’approcher passé cette distance sécuritaire. Sinon, il ne boit pas (ou pas trop, généralement), mais fume quand il est stressé.

Centre(s) d'intérêt :
Faut avouer qu’il a toujours eu une certaine fascination sur la mécanique de précision. Les automates et les montres, tout ce beau monde peut lui faire briller les yeux. Il s’y connaît aussi assez bien dans le domaine des armes à feu, paraît que c’est son paternel qui lui a transmis cette culture pour le moins… particulière. Les sports d’hiver, de précisions, l'escalade ou le ski, les méthodes diverses et variées de se faire de l’argent (il ne dit jamais non quand on lui propose un travail rémunéré), sa sœur, les chèvres. C’est mignon les chèvres.
Club(s) fréquenté(s) : Que dalle. Il va pas se faire chier à devoir socialiser avec du monde, quand même. À la place il fait de la randonnée en solitaire. Il lui arrive quand même parfois d’arbitrer les matchs, avec une rigueur de suisse. T’m’étonne.

Profil scolaire :
Probablement un des meilleurs en économie, son grand amour. Il a toujours eu une excellente mémoire et, mieux encore, un esprit qui a su faire danser les chiffres plus vite qu’une calculatrice. Les mathématiques, il ne leur voue pas la haine désespéré de certains élèves, loin de là, et donne même du tutorat à sa frangine dans le besoin. Quiconque d’autre l’approchera avec des yeux brillants risque de se prendre un cahier en pleine poire, par contre. Grande facilité aussi en stratégie militaire, il se débrouille comme un chef avec presque rien. Il n’a aucune vocation dans la Mondialisation, préférant préserver son pays plus que tout, mais écoute avec un certain intérêt. C’est toujours important de savoir les stratégies que d’autres risquent d’appliquer. Rapport à son caractère, il se débrouille remarquablement bien en Diplomatie et Coopération, ça en est presque choquant. Une espèce de moine Vash, répercussion des tibétains que la Suisse à accueillit en 1959 ? Bon, en même temps, poussons pas mémé dans les orties (t’façon faut pas faire chier mémé.), il a ses limites, Vash. Si on le connaît bien, on voit qu’il joue le rôle et puis basta.  Il n’y a pas de matière dans lesquelles il serait foncièrement mauvais. Au moindre problème, il bosse. Il se fixe une barre d’exigence assez élevée, donc… En classe, il est généralement assez silencieux. Sauf quand ça chahute trop, là, parfois, il pète une durite et rétablit le calme avec l’élégance d’un fusil à canon scié. Et puis le conseil étudiant… putain mais qu’est-ce que ce serait chiant. Ce qui ne l’empêche pas de toujours râler.
Langues Parlées:
Fluidité notoire dans ses quatre langue nationale, au point qu’on ne sache pas laquelle est sa maternelle. Il reconnaît toutefois se tromper en italien et en romanche plus souvent que sur les autres, mais il faut les parler pour s’en rendre compte. Les deux autres, le français et l’allemand, son maîtrisé au seuil de la perfection. L’anglais aussi, quoiqu’il ait parfois un accent un peu étrange sur certains mots. Quand il est vraiment énervé, il lui arrive de basculer dans une autre langue. Allemand pour le niveau d’énervement supérieur 1. Français pour le second. Italien pour le troisième. Et celui qui se fera hurler dessus en romanche… ne sera probablement plus de ce monde pour en parler.



Lieu de naissance : Soglio, Suisse
Lieu de vie avant l'admission à l'académie : Genève, Suisse.
Situation des parents :
Papa maman sont séparés (jamais mariés), père marié à une autre et mère chiante à en crever. Mais il l’aime bien. Son père est quelque chose comme dictateur du monde libre, dixit les sims. Sa mère – névrosée sur les bords, il a son sang chaud, magie génétique – va de boulot en boulot, au fur et à mesure que son sale caractère la fait virer de chaque. Pour citer Pennac, même si elle était gardienne de phare, elle s’engueulerait avec les mouettes. Il s’entend très bien avec sa belle-mère, qui partage le même amour des chiffres que lui.
Fratrie :
Une demi-sœur, pure comme la neige du sommet des montagnes, parfaite, mignonne, idéale et idéalisée. Ils se considèrent comme frère et sœur à part entière, n’ayant jamais buté sur ce "demi" qui les divisent.
Conditions de vie avant l'admission à l'académie :
Excellente. Il errait généralement d’un foyer à l’autre, ce qui lui permettait d’apprécier luxe et acceptable précarité. Peut-être qu’il tient de sa génitrice sa vocation à ne jamais trop dépenser, habitué à ce que le Ciel trouve toujours une façon de vous tomber sur la tête.
Scolarité avant l'admission à l'académie :
Excellente, un peu rigide. Il a passé deux ans en pensionnat, visitant sa famille les week-ends. Il n’a jamais été un élève intégré, préférant trifouiller des mécaniques de son compter, acheter des mini automates pour les défaire et les reconstruire.  Il est grande gueule de naissance, il a même déjà été suspendue une semaine pour avoir engueulé un  prof sur son manque d’équité et sa tendance à discriminer certain élèves, chiffres à l’appui.
Événement(s) marquant(s) :
La naissance de sa frangine. Il l’adore, cette puce, qui n’a pris que le positif dans la génétique. Il avait quatre ou cinq ans à l’époque, ça l’a plus marqué que sa chute du balcon quelques temps après. Il se souvient aussi parfaitement des rocambolesques gueulantes de ses parents, qui se sont aimés et s’aiment encore d’un amour vache à vous égorger. C’est en leur compagnie qu’il s’est fait les poumons et à appris à gueuler plus fort encore que les autres.


Regard que porte l'élève sur son intégration à l'académie :
Vash a pas tout pigé, sur le coup. Mais il a toujours été vite à la comprenette, alors il s’est assis et a analysé tous les tenants et les aboutissants de ce que ce rôle signifiait. Il ne l’a pas forcément pris avec un enthousiasme débordant, n’appréciant pas qu’on trace pour lui un chemin qu’il n’a pas demandé, râle pour la forme. Si il se démerde déjà relativement bien, il lui est parfois compliqué de différer ses propres sentiments et sa future fonction, et il le sait. Les deux s’emmêlent parfois, ça l’emmerde plus qu’autre chose. Ainsi, il a une certaine difficulté à rester entièrement neutre face à Roderich, à Gilbert, à Rome, (et tous ces connards d’envahisseurs qui vous visitent et vous prennent comme si de rien était) après avoir redécouvert certains souvenir. De la même façon, à l’inverse, ses sentiments pour sa cadette prenne le pied sur le comportement qu’il devra avoir en tant que nation, et il sait qu’il ne pourra jamais sévir contre elle-même si il le fallait. Bon, mais en même temps, on en est pas encore là, et il a le temps pour apprendre. (même si ça le fait grave chier parce qu’il voudrait être parfait. Déformation germanique.)
Relationnel au sein de l'académie :
Sa sœur c’est pas touche. Lili, Liechtenstein, Erika ou Eri tout court, il l’adore. Qu’elle se coupe les cheveux, môme, uniquement pour lui ressembler, ça a touché son petit cœur de pierre. Et bordel qu’est-ce qu’elle est parfaite. Il sait déjà à quel point elle sera jolie femme, et il est assez heureux que tout deux tiennent de leur père assez pour se ressembler. Les premières nuits à l’académie, elle est venu dormir avec lui, parfois en pleurant parce qu’elle avait peur. Et il ferait putain de n’importe quoi pour elle. Y compris renoncer à sa mythique neutralité. Ou porter une robe. (avis à tous, si vous tenez un jour à me le travestir, persuadez sa frangine, et tout sera fait.)
Ceux qui approchent sa sœur : Il sert les dents, vérifie leur identité et intégrité. Faudrait pas qu’il la lui abîme, les salauds.
Roderich Edelstein. Gilbert Beilschmidt. Barrez-vous de mon herbe. Ma chèvre vous mange. (nah, en fait j’ai la flemme de les définir maintenant, je verrais avec les divers intéressés, fuh.)



Surnom : Honeyz
Âge : 17 ans
Comment avez-vous connu le forum ? Par un hasard divin et sacré, et j'y ai direct converti une pitchune. Prenez en soin de ma Lili, dans tout les sens du terme. DDD8
Des commentaires ? C'est trop de la fougère qui sparkle, tout ça. Grosse classe que j'aime. Love.
Et pour finir, le fameux code secret ! {Suisse, pour l'occasion}