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| Sujet: Motina de Lituanie Ven 14 Nov - 15:10 | |
| Mini-fiche de présentation du PNJ Viktorija Kazlauskas
Nature du lien familial : Mère Age : 38 ans Profession : Professeur de langue Domicile : Vilnius Lituanie Langues comprises et/ou parlées : Lituanien, Letton, Russe, Anglais, Polonais, Tchèque, Allemand et français. oui elle en connait beaucoup. C'est une autodidacte. Et elle a transmis l'amour des langues à son fils.
Liste des liens : Lettonie son cher neveu a qui elle tente d'apprendre le lituanien. - Papa Galante qui est son beau-frère et tiens à lui.
Description physique :
Viktorija mesure 1m65 pour 53 kg, oui elle est mince, notre belle lituanienne à les cheveux longs qui arrivent dans le bas du dos. D'un brun identique à ceux de Toris, on sait désormais de qui il les tiens. La jeune femme les gardes libre à l’exception de deux tresses qui partent de sous les oreilles pour se rejoindre dans la nuque et terminer en une tresse unique, orner de trois rue (oui c'est le nom d'une fleure) qui cachent ainsi la jonction des tresses. Trois autre plus petites son placer sur le haut de sa tête du côté gauche. Une longue mèche lui cache la majeure partie du côté droit de son visage.
Toujours un sourire aux lèvres. Et niveau regard. Elle a le regard vif, deux magnifique iris bleu qui arrivent parfois à retenir le regard de son interlocuteur qui si il s'y plonge de trop aura l'impression qu'il va s'y noyer. Elle porte aussi un collier où pend un pendentif en forme de double croix ☨ Pendentif qu'elle manipulera directement si quelques choses la contrarient.
Caractère : Gentile, douce, calme, voilà quelques points positifs de notre dame Viktorija est quelqu'un de très sociable. Ce qu'elle aime, s'est de découvrir son environnement. Et n'aime pas voir les autres souffrir en silence, elle ressent trop facilement les sentiments des autres. Elle peut s'avérer très fort pour savoir si une personne est malheureuse ou non. Il lui arrive parfois de rendre le sourire à son entourage. C’est une femme agréable et sympathique, toujours un sourire aux lèvres cachant derrière ce masque de joie un triste passé. De tempérament doux elle peut changer du tout au tout en une fraction de seconde si on a le malheur de toucher à sa dignité et insulter les siens, dans ce genre de cas veut mieux être son ami que son ennemi. A part elle parle plus vite que sa raison, Viktorija dira ce qu'elle pense et réfléchira seulement après à ce qu'elle a dit
La relation entre le personnage et le pnj Fusionnel, la mère et le fils n'ont qu'eux deux dans le noyau familial qui devrait former leurs foyer. Comme le père de Toris est toujours en déplacement pour son travail, elle a reporté toute son attention, son amour sur son fils unique. Qui a dû assumer son rôle d'homme de famille assez jeune.
C'est une mère attentionnée qui aidera son fils si le besoin s'en fait sentir.
Il lui arrive parfois ou du moins essayer de de recoiffer le jeune lituanien, trouvant sa crinière de ce dernier in-coiffable. Soupirant en le voyant ainsi. Mais bon il n'y peut rien.
Toris appel sa mère "Motina" traduit littéralement mère mais pour lui et elle c'est l'équivalent de maman. Pas qu'il l'ai choisi c'est Viktorija qui l'a décider, trouvant que "mama" faisait trop gamin avec le temps. Elle l'a habituer à l'appeler motina avec la traduction maman, pour lui. Elle lui aura expliquer cela quand il a entendu un de ses ami appeler sa mère mama et que la mère en question c'est retourner sur lui et la fixer bizarrement quand il a avait appeler la sienne de façon plus formel que familial
Quelques headcanons que vous exploitez pour votre personnage à vous (l'étudiant) Tout le monde sais que Lituanie est un peu accro au café. Et Viktorija y est un peu en cause. Enfant, dès qu’il voyait sa mère en cuisine Toris allait directement la voir et tirer sur ces vêtements pour attirer son attention. Et quand il l’avait tendait les bras pour qu’elle le porte. Elle était obligée de le prendre à bras au risque de le voir pleurer. Oui oui c’était un petit monstre à cet âge-là. Mais bon faire un café à une main ce n’est pas facile. Du coup Toris à adopter la technique koala. Mit dans le dos de sa motina il la regardait faire le café. Cette technique fut utiliser un an ou deux. Après quoi il grimpait sur le meuble pour l’aider. C’est à l’âge de 7ans qu’il fit son premier café sous l’œil bien veillant de motina. Depuis il n’est pas rare de les voir se chamailler pour voir qui va faire le café et il arrive parfois qu’ils en arrivent à faire la course jusqu’à la cuisine pour être le premier à le faire. Après autant d’année de pratique, Lituanie est arrivé à faire un café égale à sa mère, bon courage à vous. Si vous devez les départager sur cette boisson.
Toris parle plusieurs langues grâce à sa mère qui est professeur dans une université de Vilnius et qui passe son temps à lui parler dans plusieurs langues. Même si le lituanien reste le plus courant entre eux. Par contre ce n’est pas elle qui lui a donné les bases en letton mais c’est son oncle. (le père de raivis)
Viktorija est au courant pour les cicatrices qui orne le dos de son fils. Elle les a vu cette été alors qu’elle devait soigner le brun qui c’était blesser à l’épaule suite à une chute de l’échelle alors qu’il coupait une branche d’arbre qui allait chez leur voisin. Elle est bien l’une des seule à avoir eu la version officiel. Il ne pouvait pas la lui cacher. C’est qu’elle est très convaincante quand elle le veut. Par contre Lituanie lui a donner sa « version officiel » . En gros. « Je porte les souvenir de notre pays. Ce sont des marques laissé par les guerres et conflits qu’il a vécus, elles sont apparues après le réveilles de certains souvenir… » Sachant cela elle n’a pas été voir plus loin.
Toris est un basketteur dans l’âme il a besoin d’aller faire des paniers pour se changer les idées et se calmer. Et cela Viktorija le sait, il peut donc jouer autant qu’il veut. Par contre si motina le rejoint c’est pour deux choses. Soit lui parler et le fera en jouant avec lui. Soit l’envoyer au lit après lui avoir mis une raclée en règle. Oui derrière cette apparence mignonne. Elle réussit à battre son fils sur son propre terrain.
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